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48 Heures chrono

 

Date de sortie : 29 mai 2013
Réalisateur : 
Morgan O'Neill
Acteurs : John Cusack, Jennifer Carpenter, Dallas Roberts, ...

Durée : 1h44
Nationalité :  Américaine
Note : 7,5/10

 

Synopsis

   Depuis des années, l’inspecteur Mike Fletcher et sa partenaire Kelsey Walker sont sur les traces d’un tueur en série qui rôde dans les rues de Buffalo et cible tout particulièrement les jeunes prostituées. Lorsque sa fille de 17 ans fait une fugue et disparaît, Fletcher ne tarde pas à réaliser que le tueur l’a enlevée. Désormais chaque minute compte et Fletcher doit absolument retrouver sa fille avant qu’il ne soit trop tard…




 

Critique

Un thriller dont les bases ont déjà été foulées à de nombreuses reprises. En effet, le scénario est classique, un membre de la famille de l’inspecteur enlevé par le tueur qu’il poursuit c’est du déjà vu ! Le film tarde un peu à décoller, il faut attendre que la fille de l’inspecteur disparaisse pour que le scénario parvienne à focaliser un peu plus notre attention. Comme le scénario est somme toute un peu banal, on ne se fait pas d’illusion quant au dénouement mais le réalisateur, Morgan O’Neill, l’entend autrement et nous sert une série de rebondissement que l’on n’aurait pas imaginé possible jusque-là.

 

Les acteurs sont plus ou moins convaincants. Plus ou moins car si le duo d’inspecteur, joué par John Cusack et Jennifer Carpenter, est réussi, le rôle de la fille est bien moins convaincant : dans le scénario on nous parle d’une fille de 17 ans mais dans les dialogues on a plutôt l’impression de voir devant nous une personne de 14-15 ans (à noter également que la voix française est relativement peu agréable à écouter…).

 

 

Le « méchant », parlons-en car c’est bien là l’une des choses les plus importantes dans un film de ce genre. En effet, un « méchant » raté donne un film qui ne vole pas haut… Le tueur en série n’est pas si travaillé que ça, on ne sait pas ce qui le motive (ou pas clairement du moins). Le scénario lui réserve deux facettes bien distinctes. On le trouve donc tantôt cruel (oui une ou deux scènes sont un peu … sanglantes), tantôt tendre comme un père.

 

 

Au final, un film plutôt sympathique grâce à ses rebondissements à la fin qui sont vous l’aurez compris réussis.

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